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== 076. Iris germanica L. ==
== ''Iris germanica'' ==
[I/417; p:287] IRIDACÉES
076. ''Iris germanica'' L.[I/417; p:287] IRIDACÉES
*Nom accepté : ''[[Iris germanica]]''
 


A. - Selon TROTTER (1915) et CUENOD ''et al''. (1954) les « bul­bes » de cette espèce et de ''I. juncea'' seraient comestibles. GATTEFOS­SÉ (1921) note que le rhizome est apprécié comme condiment et souvent mêlé à d'autres mets, principalement le couscous, car réputé fa­voriser l'engraissement des femmes.
A. - Selon TROTTER (1915) et CUENOD ''et al''. (1954) les « bul­bes » de cette espèce et de ''I. juncea'' seraient comestibles. GATTEFOS­SÉ (1921) note que le rhizome est apprécié comme condiment et souvent mêlé à d'autres mets, principalement le couscous, car réputé fa­voriser l'engraissement des femmes.
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== 077. Iris juncea Poir. ==
== ''Iris juncea'' ==
[I/424; p:239]
077. ''Iris juncea'' Poir. [I/424; p:239]
*Nom accepté : ''[[Iris juncea]]''
 


A. - Selon TROTTER (1915) et CUENOD ''et al.'' (1954) les bul­bes de ces espèces connues sous le nom arabe de « takouk » seraient comestibles (cf. à ''I. germanica'' n° 076).
A. - Selon TROTTER (1915) et CUENOD ''et al.'' (1954) les bul­bes de ces espèces connues sous le nom arabe de « takouk » seraient comestibles (cf. à ''I. germanica'' n° 076).

Dernière version du 28 décembre 2019 à 12:02

Dioscoréacées
Le Floc'h, Ethnobotanique tunisienne, 1983
Salicacées


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Iris germanica

076. Iris germanica L.[I/417; p:287] IRIDACÉES


A. - Selon TROTTER (1915) et CUENOD et al. (1954) les « bul­bes » de cette espèce et de I. juncea seraient comestibles. GATTEFOS­SÉ (1921) note que le rhizome est apprécié comme condiment et souvent mêlé à d'autres mets, principalement le couscous, car réputé fa­voriser l'engraissement des femmes.

M. - En infusion les rhizomes sont utilisés contre les refroidissements et le gonflement de la rate (BOUQUET, 1921).


[71]

Iris juncea

077. Iris juncea Poir. [I/424; p:239]


A. - Selon TROTTER (1915) et CUENOD et al. (1954) les bul­bes de ces espèces connues sous le nom arabe de « takouk » seraient comestibles (cf. à I. germanica n° 076).