« Phelipanche aegyptiaca » : différence entre les versions
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GAST signale en outre que cette espèce (tam. : tamzellit) est réputée, en Ahaggar, avoir meilleur goût que la cistanche. {{droite|[[Orobanchacées (Le Floc'h, 1983)#Orobanche aegyptiaca|Le Floc'h, 1983, ''Ethnobotanique tunisienne'', 231]]}} | GAST signale en outre que cette espèce (tam. : tamzellit) est réputée, en Ahaggar, avoir meilleur goût que la cistanche. {{droite|[[Orobanchacées (Le Floc'h, 1983)#Orobanche aegyptiaca|Le Floc'h, 1983, ''Ethnobotanique tunisienne'', 231-232]]}} | ||
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Dernière version du 7 janvier 2020 à 20:47
Phelipanche aegyptiaca
(Pers.) Pomel
Ordre | Lamiales |
---|---|
Famille | Orobanchaceae |
Genre | Phelipanche |
2n =
Origine :
sauvage et cultivé
Français | |
---|---|
Anglais |
Résumé des usages
- racine comestible
Description
Noms populaires
français | |
anglais | |
tamachek | tamzellit (Gast) |
Classification
Phelipanche aegyptiaca (Pers.) Pomel (1874)
basionyme :
- Orobanche aegyptiaca Pers. (1806)
Cultivars
Histoire
Usages
Les populations nomades consomment les parties souterraines de Phelipaea aegyptiaca (espèce parasite) rapportent GALAN (1951) et GAST (1968). GAST signale en outre que cette espèce (tam. : tamzellit) est réputée, en Ahaggar, avoir meilleur goût que la cistanche. |