« Céleri cultivé (Candolle, 1882) » : différence entre les versions

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5. Dioscoride, ''Mat. med.'', I. 3, c. 67, 68 ; Pline, ''Hist.'', 1. 19, c. 7, 8 ; Lenz, ''Bot. d. alten Griechen und Rœmer'', p. 557.
5. Dioscoride, ''Mat. med.'', I. 3, c. 67, 68 ; Pline, ''Hist.'', 1. 19, c. 7, 8 ; Lenz, ''Bot. d. alten Griechen und Rœmer'', p. 557.
[[Catégorie:Candolle]]

Version du 9 novembre 2011 à 15:14

Nom accepté : Apium graveolens L.


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Céleri cultivé. — Apium graveolens, Linné.

Comme beaucoup d'Ombellifères, des lieux humides, le Céleri sauvage a une habitation étendue. Il existe depuis la Suède jusqu'à l'Algérie, l'Egypte, l'Abyssinie, et en Asie depuis le Caucase jusque dans le Belouchistan et les montagnes de l'Inde anglaise 4.

Il en est question déjà dans l'Odyssée, sous le nom de Selinon, et dans Théophraste ; mais plus tard Dioscoride et Pline 5 distinguent le Céleri sauvage et le Céleri cultivé. Dans celui-ci, on fait blanchir les feuilles, ce qui diminue beaucoup l'amertume. L'ancienneté de la culture fait comprendre pourquoi les variétés de jardin sont nombreuses. Une des plus différentes de l'état naturel est le Céleri rave, dont la racine charnue se mange cuite.

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4. Fries, Summa veget. Scandinaviæ ; Munby, Catal. Alger., p. 11 ; Boissier, Flora orientalis, 2, p. 856 ; Schweinfurth et Ascherson, Aufzählung, p. 272 ; Hooker, Flora of brit. India, 2 p. 679.

5. Dioscoride, Mat. med., I. 3, c. 67, 68 ; Pline, Hist., 1. 19, c. 7, 8 ; Lenz, Bot. d. alten Griechen und Rœmer, p. 557.