Parietaria judaica

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Parietaria judaica

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Ordre Rosales
Famille Urticaceae
Genre Parietaria

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Origine :

sauvage et cultivé

Français
Anglais


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Description

Noms populaires

Classification

Cultivars

Histoire

Usages

Usages collectés par Claude Marco

  • Au XVIII° siècle pour le mal de mère et comme diurétique (frite) [Document sur la médecine populaire en Provence au XVIII° Thèse du docteut Ely Montpellier 1954 in Seignolles, Le Folklore de la ¨Provence, p. 373 et 376]
  • Vallée de l’Estéron : diurétique pour les hommes (queues de cerises pour les femmes. Raybaut Paul, 1980. Les boissons dans une vallée agro-pastorale de la Provence orientale. Ethnologie française n°3.
  • Mentonnais : tisane de pariétaire contre les refroidissements . Bruyn-Andrews, J., 1894. Traditions et superstitions du Mentonnais. Revue Traditions populaires.
  • Brignoles : on l’emploie en décoction pour laver les fesses des nourrissons et éliminer les rougeurs provoquées par l’urine. Gabriel Larose in Seignolles, Le Folklore de la Provence, p. 66.
  • La pariétaire est beaucoup utilisée chez les nourrices de Provence pour calmer les coliques des enfants, elles pilent cette plante au mortier et recueille le suc vert qu’elles font prendre à leurs nourrissons. Statistique de Villeneuve T.I, p. 636.
  • En Haute-Provence, pour guérir les coliques des enfants on usait d’une infusion d’espargou. Marcel Provence, Enquète “ Vie de l’homme en Hte Provence “ … p. 253.
  • A Marseille les aphtes sont guéris par l’espargoulo "on en met un petit paquet dans la cheminée ; lorsque le paquet est sec, ce qui ne tarde guère, les aphtes se sèchent. » Régis de la Colombière, 1868. Cris populaire de Marseille. p. 272.

Références

Liens