Parietaria judaica
Parietaria judaica
Ordre | Rosales |
---|---|
Famille | Urticaceae |
Genre | Parietaria |
2n =
Origine :
sauvage et cultivé
Français | |
---|---|
Anglais |
Cette page a été créée par un robot. Les premières tâches à faire sont de vérifier les liens, de clarifier la nomenclature et de choisir des photos dans Wikimedia Commons.
Description
Noms populaires
Classification
Cultivars
Histoire
Usages
- Voir les Plantes médicinales de Cazin (1868)
- Alij, quod detergendis uitreis poculis sit aptißima, Vitreolam nominant. (Matthiole latin, 1554, 488 : Helxine (Parietaria)
- La parietaire croist es murailles, haies et uieilles masures... Aucuns la nomment Vitreola, à cause qu'ell'est bone à nettoier, & degraisser les verres. Matthiole français, 1572, 596 : De la parietaire, chap. LXXXL
Usages collectés par Claude Marco
- Au XVIII° siècle pour le mal de mère et comme diurétique (frite) [Document sur la médecine populaire en Provence au XVIII° Thèse du docteut Ely Montpellier 1954 in Seignolles, Le Folklore de la ¨Provence, p. 373 et 376]
- Vallée de l’Estéron : diurétique pour les hommes (queues de cerises pour les femmes. Raybaut Paul, 1980. Les boissons dans une vallée agro-pastorale de la Provence orientale. Ethnologie française n°3.
- Mentonnais : tisane de pariétaire contre les refroidissements . Bruyn-Andrews, J., 1894. Traditions et superstitions du Mentonnais. Revue Traditions populaires.
- Brignoles : on l’emploie en décoction pour laver les fesses des nourrissons et éliminer les rougeurs provoquées par l’urine. Gabriel Larose in Seignolles, Le Folklore de la Provence, p. 66.
- La pariétaire est beaucoup utilisée chez les nourrices de Provence pour calmer les coliques des enfants, elles pilent cette plante au mortier et recueille le suc vert qu’elles font prendre à leurs nourrissons. Statistique de Villeneuve T.I, p. 636.
- En Haute-Provence, pour guérir les coliques des enfants on usait d’une infusion d’espargou. Marcel Provence, Enquète “ Vie de l’homme en Hte Provence “ … p. 253.
- A Marseille les aphtes sont guéris par l’espargoulo "on en met un petit paquet dans la cheminée ; lorsque le paquet est sec, ce qui ne tarde guère, les aphtes se sèchent. » Régis de la Colombière, 1868. Cris populaire de Marseille. p. 272.